Au secours, les stations de ski du Québec sont en détresse!
Ben oui, ben oui.
Ça me fait tellement penser à la crise du Grand Prix de Montréal. En fait il ne fait plus aucun doute pour moi, c'est une recette assez grossière merci.
D'ailleurs la question fondamentale est la suivante: sommes-nous pour les règles du marché ou non? Il y en a, comme monsieur Désourdy, qui ont plusieurs messages. Quand l'argent rentre, ils disent au gouvernement "Mêlez-vous de vos affaires!". Quand c'est question des dépenses de l'état, ils se scandalisent à toute dépense qui n'est pas absolument "nécessaire". Quand ils voient des québécois qui souffrent de pauvreté, ils clament «les Québécois sont des fainéants! ». Or, quand LEUR business frappe un nœud, ils engagent des lobbyistes, vont pleurer sur la colline, demandent des subventions et demandent à ce que l’état adoucisse les conditions du marché!
Je n’ai pas de problème avec des gens qui se disent d’accord ou en désaccord avec les règles du marché. Mais il y en a qui perdent de vue qu’ils vivent en société et que ce n’est pas parce qu’on a un plus gros portefeuille qu’on devrait passer en avant de tout le monde. Surtout quand on se met en file sans être VRAIMENT malade, dans le fond.
lundi 4 juin 2007
La recette grossière de monsieur Désourdy
Publié par
Obi Wan Celeri
le
lundi, juin 04, 2007
Libellés : Celeri, économie, règles du marché, société
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